Le « Groupement » et les centres qui en relèvent utilisent des méthodes de travail manuelles pour la collecte des informations et leur transmission.

 

- Absence de normes permettant au groupement d’adapter ses moyens aux besoins réels.

 

- Plusieurs manques au niveau du recouvrement des frais de soins et des visites complémentaires ayant eu un impact négatif sur les recettes de l’année 2010.

 

- Le manque qualitatif et quantitatif en certains moyens de travail limite la capacité du groupement en matière de prise en charge efficace de certains cas pathologiques et ne permet pas d’alléger la charge sur certains hôpitaux universitaires.

 

- Le « Groupement » fait face à des difficultés dans l’approvisionnement en médicaments dues à l’absence de normes de référence pour la gestion des commandes lors de la distribution des médicaments entre les centres de santé de base.

 

- Il s’est avéré que les procédures de manipulation des médicaments ne répondent pas aux dispositions réglementaires de la gestion hospitalière dans les structures de la santé publique.

 

- La périodicité des consultations des élèves conformément au programme de la médecine scolaire et universitaire n’a pas été respectée.

 

- Plusieurs établissements scolaires manquent de locaux qui conviennent à l’activité de la médecine scolaire et universitaire et permettant la conservation des archives médicales.

 

- Le taux des bénéficiaires du programme de dépistage du cancer du sein et du col de l’utérus en 2010 n’a pas dépassé respectivement 6% et 19% des femmes ciblées.

 

- Le « Groupement » n’a pas mis en place un programme de travail clair pour le centre de conseil et de dépistage anonyme et volontaire «CCDAV » du virus de l’immunodéficience humaine «VIH» afin de le faire connaitre et rapprocher ses services des populations les plus exposées aux risques de transmission du virus.